Au Japon, j’ai fait semblant de faire caca pour rentrer dans le musée… du caca
Lors de mon voyage au Japon, j’ai découvert une expérience unique en son genre : le musée du caca. Intrigué et curieux, j’ai décidé de tenter l’expérience et de visiter ce lieu insolite. Cependant, l’accès au musée était particulier puisqu’il fallait prouver que l’on avait « fait ses besoins » avant d’entrer. Voici le récit de mon aventure pour découvrir ce musée surprenant.
La découverte de l’existence du musée du caca
C’est en discutant avec des locaux que j’ai entendu parler du musée du caca. Au départ, je pensais à une blague, mais mes interlocuteurs étaient sérieux. Intrigué et amusé, j’ai décidé de me renseigner davantage sur cet établissement atypique. J’ai alors découvert que le musée était consacré à la culture et à l’histoire des excréments, considérés au Japon comme un symbole de chance et de prospérité.
Le musée propose une grande variété d’expositions interactives et ludiques, notamment des sculptures, des animations vidéos et des jeux éducatifs sur le thème des excréments. Je me suis dit que cela pourrait être une expérience originale à vivre lors de mon voyage au Japon.
Les règles d’accès particulières
Avant de me rendre au musée du caca, j’ai rapidement découvert qu’il y avait des règles particulières à respecter pour y entrer. En effet, les visiteurs doivent prouver qu’ils ont bien « fait leurs besoins » avant de pouvoir accéder au musée. Cela peut sembler étrange, voire dérangeant pour certains, mais c’est une façon pour les responsables du musée de s’assurer que les visiteurs sont réellement intéressés par la thématique abordée.
Pour prouver que l’on est apte à entrer dans le musée, il faut montrer un autocollant « caca » que l’on reçoit après avoir utilisé les toilettes du musée. Cet autocollant est remis aux visiteurs qui ont effectivement utilisé les toilettes et qui ont produit leurs propres excréments. C’est ainsi que j’ai été confronté à cette étrange situation : faire semblant de faire caca pour obtenir cet autocollant et pouvoir accéder au musée.
Une expérience surprenante
Une fois muni de mon autocollant « caca », j’ai enfin pu entrer dans le musée. L’expérience fut à la fois amusante et instructive. J’ai découvert tout un univers dédié aux excréments, avec des informations sur leur composition, leur rôle écologique, leur importance dans la culture japonaise, etc.
Les différentes expositions étaient également très ludiques. Il y avait par exemple des sculptures géantes représentant des excréments, des jeux interactifs pour apprendre à reconnaître les différents types de caca (oui, il en existe plusieurs !), ainsi que des vidéos explicatives sur le processus de digestion.
J’ai également été surpris par la manière dont le musée abordait le sujet avec humour et dérision. Les visiteurs étaient invités à participer à des jeux et à répondre à des quiz, le tout dans une ambiance conviviale et bon enfant.
Une conclusion inattendue
Cette visite au musée du caca restera sans aucun doute l’une des expériences les plus étonnantes de mon voyage au Japon. Au-delà de l’aspect insolite de ce lieu, j’ai été fasciné par la façon dont les Japonais réussissent à transformer un sujet tabou en une source d’apprentissage et de divertissement.
Cette expérience m’a également fait prendre conscience de l’importance de la culture et des traditions dans un pays. Le musée du caca est un exemple de la richesse et de la diversité des thèmes abordés dans les musées japonais, qui proposent souvent des expositions sur des sujets originaux et peu communs.